Son nom c’est Malaya (et retenez bien ça)
Derrière ce pseudo et cette chevelure, se cache un jeune rappeur toulousain de 22 ans, Tom. En regardant les images de ce clip, vous comprendrez que le garçon est mordu de cinéma, ce septième art qu’il décrit comme “une discipline qui mêle le rythme et la création d’émitions par l’assemblage d’images et de son” : un assemblage qui le porte également dans son écriture, en regroupant des phrases, des mots, leurs sonorités. Avec Mon nom c’est, Malaya nous livre un rap entrainant, où le calme de son phrasé dans les couplets valorise l’atmosphère oppressante et entêtante de l’instru. C’est d’ailleurs par le flow et les prod qu’il s’est intéressé au rap avant les palabres. Malaya a pris conscience du placement de ses punchlines (et il commence fort le morceau avec le twerk du pingouin de Happy Feet) en faisant la rencontre d’Elixel avec qui il a partagé le titre Poussière et avec qui il partage le loyer : deux talents qui se sont rencontrés via Iknowaguy qui a produit, mixé et masterisé le titre qu’on vous présente aujourd’hui. Mon nom c’est est le premier single de ce talent, celui avec lequel l’artiste nous présente son alter-ego. “Mayala c’est moi mais c’est pas moi. C’est mon surmoi. C’est un moi sans soucis éthique peut-être, c’est un moi avec certains traits accentués selon les morceaux”. Un nom en hommage à l’Himalaya, comme pour nous affirmer sa soif d’atteindre les sommets. L’ascension est en marche, on attend d’écouter chacune des prochaines étapes : et Malaya nous a déjà annoncé l’arrivée prochaine du titre Cocktail et celle d’un premier EP en préparation… Rémy
C’est avec le titre Mon nom c’est que la musique de Malaya est arrivée dans nos oreilles. Un titre entre egotrip et hommage à l’un des plus grands succès d’Eminem.
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