Au delà du rock, Lucas Erikson dévoile aujourd’hui son tout premier clip, Wander
Vous l’avez peut-être déjà croisé en concert sur Toulouse, dans un pub, un festival, une jam ou encore aux manettes de la scène ouverte du Chorus. Il y a quelques années déjà que Lucas Erikson fait partie du paysage musical toulousain et qu’il s’investit dans le soutien de la scène locale. Mais Lucas, c’est surtout un auteur, compositeur et interprète talentueux, sur le point de dévoiler au monde, la plus intime des créations : son tout premier EP, Songs of an end, signé sur le label Aureate Records. Cette nouvelle quête a déjà commencé début 2022 avec la sortie de deux premier single, Become the stranger et Pray for me. Dans ces titres il nous emmène tantôt au cœur du rock-blues des Black Keys, dans le dark rock des danois Get your guns ou encore dans les feuillages de la folk-country d’Eddie Vedder… Mais avant tout, la musique de notre wanderer est habitée et singulière ; elle ne ressemble qu’à lui. Le tout premier EP de Lucas Erikson promet donc une véritable épopée à l’aura de son premier clip, Wander (le vagabond), qui explore l’au-delà du rock comme une succession de désespoirs, de songes et de cris du cœur. Une dystopie qui parle de solitude et anticipe les événements succédant à l’inaction climatique. Il raconte notamment la traversée du désert du dernier homme sur Terre, conséquence d’un monde laissé à l’abandon par l’Homme, et qui fait écho au titre de l’EP (et à nos inquiétudes quotidiennes). Façon western ou grande traversée (à la Into the wild) on y explore le ressenti de ce survivant qui erre sans savoir où il va, sans savoir ce qu’il cherche, jusqu’à sa rencontre avec un ours en peluche qui devient son compagnon de route. Un bijou signé Hugues-Albsnd Bermond et Nathan Bouschet. En attendant la sortie de l’EP, normalement à l’automne prochain, on vous laisse vagabonder à l’écoute des jolies notes rocailleuses de Lucas. Lisa
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