Mais c’est Sophie Le Cam

Crédits photo Chloé Kaufmann

Toulousaines et toulousains, vous avez une chance incroyable : Sophie Le Cam pose ses valises (sa guitare, son clavier et son auto-harpe) le 24 janvier prochain au Bijou.

Comment vous raconter Sophie Le Cam en quelques mots ?

En vous disant que certaines de ses chansons vous expliquent que les mamans rêvent d’avoir Thomas Pesquet comme gendre (Paske Pesquet) ou encore que les Jeux de société ne sont pas okay ?

Que d’autres vous donnent envie de rencontrer ce Romain qu’elle chante avec amour et tendresse ou d’enlacer la main de toutes et tous les Timides que vous croisez ?

Et si je vous dis que la dernière fois que je l’ai vue sur scène, il y a quelques années, elle est arrivée en scooter dans le petite théâtre parisien et a fait une partie de badminton endiablée entre deux chansons et une chorégraphie bien rodée ?

Parce que oui, Sophie Le Cam, c’est une folie douce, délicieusement décalée et joyeuse, aux chansons synth-pop qui tapent dans le mille à chaque fois et qui ont la belle habitude de faire dandiner les têtes et provoquer des éclats de rires non maîtrisés ou cette petite larme au coin de l’œil, que l’on essuie discrètement.

Sophie Le Cam a tout compris de la poésie du quotidien, qu’elle nous sert avec malice, impertinence et sensibilité.

Et autant vous dire que lorsqu’elle sert, l’autrice-compositrice-interprète, fille cachée de Philippe Katerine et petite cousine au 9e degré de GiedRé, le fait avec brio (pas étonnant pour une ancienne vice-championne de France de badminton des collèges par équipe, grande fan de tennis).

Vous n’avez donc aucune excuse pour ne pas aller la découvrir en concert et vous procurer son nouvel album, « Vedette », le 24 janvier : Roland Garros c’est dans 5 mois.

Autrice, compositrice et interprète, Arbas est une amoureuse des mots. Son terrain de jeu favori la chanson à texte.