Thom Souyeur et Les Petits Grégory, sans commentaire.

 
Déjà, qu’on se le dise, Thom Souyeur et les petits Grégory, c’est inclassable. Ils n’ont aucune identité musicale. D’ailleurs, leurs personnages eux-mêmes n’ont aucune cohérence pour former un groupe. C’est techniquement limité, et musicalement souvent passable. QUOI ? Mais qu’est-ce qui fait qu’on prend le temps de vous en parler alors ? Et bien c’est assez simple et le nom de leur groupe devrait vous mettre la puce à l’oreille. C’est complètement pété. De la satyre comme seuls des bons français sont capables d’en faire. C’est un peu comme si GiedRé avait violé Didier Super et qu’il avait accouché d’une portée de chatons insupportables, intenables, droguées, dégueulasses mais tellement drôles.

Qualifier musicalement le groupe n’a que peu de sens. Il peuvent commencer avec un ska, puis partir sur de la folk avant de revenir au rock en passant par une bossa. Bref vous l’aurez compris ces irrévérencieux gais lurons sont à écouter et à voir au 10ème degré pour leur univers limite-limite et leurs textes horribles qui nous tirent facilement un sourire honteux. Et ça tombe bien parce qu’ils organisent un concert le vendredi 7 février au Metronum avec Schlaasss et Lazzy Grass String Band. Venez, on risque de bien s’amuser.

Thomas


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